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Wall Street fait son cinéma

| Boursier | 326 | Aucun vote sur cette news

Wall Street progresse légèrement ce jeudi dans un marché toujours calme, la vague des résultats financiers des entreprises se terminant...

Wall Street fait son cinéma
Credits UzirePictures

Wall Street progresse légèrement ce jeudi dans un marché toujours calme, la vague des résultats financiers des entreprises se terminant progressivement, tandis que les investisseurs attendent toujours de nouveaux signaux concernant la trajectoire des taux d'intérêt de la Réserve fédérale américaine... Le DJ prend 0,50% à 39.255 points, le S&P500 s'adjuge 0,3% à 5.203 points et le Nasdaq grimpe de 0,15% à 16.325 points.
Les marchés viennent de prendre acte du discours monétaire un peu plus souple de la Banque d'Angleterre malgré la reconduction des taux de la BoE. La BOE a donc laissé inchangé ses taux directeurs pour la 6e fois consécutive, comme prévu par les analystes. Son gouverneur, Andrew Bailey, s'est toutefois dit "confiant" dans la trajectoire suivie par l'inflation, une confiance reflétée dans les nouvelles projections économiques publiées par la banque centrale à cette occasion... Le principal taux directeur de la BoE a ainsi maintenu à 5,25%, soit son plus haut niveau depuis 15 ans.
Le comité de politique monétaire de la BoE a voté par 7 voix en faveur du maintien des taux, contre 2 voix en faveur d'une baisse des taux à 5%.
"Il nous faut davantage de preuves que l'inflation demeurera faible avant que nous puissions baisser les taux... Je suis confiant que les choses bougent dans la bonne direction", a souligné Andrew Bailey. L'institution monétaire suivra donc de près les prochaines publications de données "afin de comprendre si les risques d'une inflation persistante diminuent"..."Sur cette base, le comité de politique monétaire décidera de la durée pendant laquelle les taux devront être maintenus à leurs niveaux actuels", commente la banque centrale.

Dans ses projections économiques mises à jour, la BoE prévoit un reflux de l'inflation à 2,6% dans un an, contre 2,8% projeté en février. Dans deux ans, l'inflation retomberait à 1,9%, contre 2,3% attendu précédemment, et à 1,6% dans trois ans, contre 1,9% prévu en février.
Les projections de croissance pour le Royaume-Uni ont été quant à elles revues en légère hausse, à 0,5% en 2024, contre 0,25% attendus en février.
Ces nouvelles données encourageront les opérateurs à anticiper de prochaines baisses de taux de la BoE, les marchés monétaires estimant à environ 50% la probabilité que l'institution assouplisse sa politique au cours de sa prochaine réunion, en juin, à peu près au même moment que la BCE.
Rappelons que la BoE a relevé ses taux à 14 reprises depuis le mois de décembre 2021 jusqu'en août 2023, avant d'opter pour une première pause en septembre...

Les prix du pétrole remontent à plus de 84$ le brent ce jeudi, la baisse des stocks de brut aux États-Unis, l'intensification de l'activité des raffineries et la hausse des importations chinoises le mois dernier ayant renforcé les prévisions de demande pour les deux plus grands consommateurs de brut au monde...

Les responsables de la Fed sont encore nombreux à s'exprimer en cette fin de semaine : La présidente de la Fed de Boston, Susan Collins, a ainsi déclaré que l'économie américaine devait encore se calmer pour ramener l'inflation à l'objectif des 2% fixé par la banque centrale. "Un ralentissement de l'activité sera nécessaire pour garantir que la demande soit mieux alignée sur l'offre, afin que l'inflation revienne durablement à l'objectif officiel", a déclaré Collins dans un discours prononcé lors d'un événement du Massachusetts Institute of Technology.
Pour l'instant, en ce qui concerne la politique monétaire, "les récentes surprises à la hausse en matière d'activité et d'inflation suggèrent la nécessité probable de maintenir la politique à son niveau actuel jusqu'à ce que nous soyons plus sûrs que l'inflation évolue durablement vers 2%", a-t-elle estimé.
Lors de récentes apparitions, de nombreux responsables de la Fed ont maintenu la perspective d'un assouplissement, mais ont renoncé à fournir un quelconque calendrier pour la prochaine baisse des taux, tout en surveillant les données sur les progrès en matière de réduction de l'inflation.
Dans le cadre de son discours, Susan Collins a encore souligné que "dans l'ensemble, la politique monétaire reste bien placée pour répondre aux informations entrantes, alors que nous évaluons l'évolution des perspectives et des risques". Elle s'est également dit "optimiste" quant à la capacité de la Fed à ramener l'inflation à 2% "dans un délai raisonnable, avec un marché du travail qui reste sain"... Cela dit, ramener l'inflation à 2% "prendra plus de temps qu'on ne le pensait auparavant", a ajouté Collins, notant "qu'il n'y a pas de voie politique prédéfinie - cela nécessite des décisions fondées sur une évaluation méthodique et holistique d'un large éventail d'informations". La responsable monétaire a également déclaré que les attentes d'inflation à long terme étaient cohérentes avec l'objectif d'inflation de 2% de la Fed, et elle a ajouté que le récent bond de la productivité n'était probablement pas l'origine d'une tendance durable... Collins a enfin estimé que les employeurs seraient probablement en mesure d'absorber des demandes salariales plus élevées.

Côté indicateurs économiques, les inscriptions au chômage ont repris leur progression la semaine dernière aux Etats-Unis, dépassant les attentes pour atteindre 231.000 nouvelles inscriptions contre 209.000 la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes anticipaient en moyenne 215.000 inscriptions au chômage lors de la semaine au 4 mai.
Les inscriptions de la semaine au 27 avril ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 208.000.

L'euro pointe sur les 1,0775/$. Le bitcoin revient à 61.550$.

Les valeurs

Sony Pictures Entertainment et le fonds d'investissement Apollo Global Management envisageraient d'acquérir Paramount Global (-1,3%) pour un montant de 26 Milliards de dollars (24,23 Milliards d'euros) et de démanteler le groupe, selon le New York Times, qui cite "des sources proches des discussions".
Rappelons que Shari Redstone envisageait pour sa part encore récemment une cession de sa participation dans Paramount au groupe média Skydance de David Ellison... L'agence Bloomberg citait le mois dernier des sources proches du dossier, selon lesquelles Skydance menait des discussions exclusives avec un panel d'administrateurs indépendants de Paramount dans le cadre du deal éventuel visant à acquérir la société holding National Amusements de la famille Redstone. National Amusements détient directement ou indirectement 77% des actions avec droit de vote de Paramount, ce qui lui confère le contrôle des studios de cinéma et des réseaux TV.
La famille Redstone et le directeur général de Skydance Media auraient depuis proposé des concessions aux autres investisseurs présents au capital de Paramount, alors que certains actionnaires souhaitaient que le groupe étudie d'autres alternatives plus créatrices de valeur...
Le mois dernier, il se murmurait déjà que Sony Pictures Entertainment et Apollo Global Management pourraient déposer une offre commune sur Paramount Global.
Dans ce cadre, Sony acquerrait une participation majoritaire dans la coentreprise et exploiterait la société de médias, ainsi que sa bibliothèque de films. Le président de Sony Pictures Entertainment, Tony Vinciquerra, dirigerait le studio et profiterait du marketing et de la distribution de Sony. Quant à Apollo, il prendrait le contrôle du réseau de télévision CBS et de ses chaînes locales, une mesure requise par les lois qui limitent la propriété étrangère des réseaux américains de télévision...
Rappelons que Paramount détient le studio de cinéma Paramount Pictures, ainsi que d'autres actifs phares tels que CBS, MTV ou Nickelodeon est dans la ligne de tir d'Apollo depuis plusieurs semaines... La firme de private equity avait ainsi dernièrement offert 11 milliards de dollars pour la reprise du studio cinématographique Paramount Pictures.
Le studio de cinéma est en effet considéré comme le joyau du conglomérat médiatique Paramount, avec une bibliothèque de films mondialement connus comprenant de grands classiques tels que 'Le Parrain' et 'Breakfast at Tiffany's', ainsi que des franchises à succès comme 'Mission : Impossible', 'Star Trek' ou 'Transformers'... Le studio a déjà suscité l'intérêt de nombreux prétendants. Shari Redstone, actionnaire majoritaire du conglomérat via National Amusements, hésite pour sa part à se séparer de cette pépite acquise par son père, feu Sumner Redstone, il y a trente ans.
Le Financial Times avait rapporté le mois dernier que Redstone n'était pas convaincu par l'offre d'Apollo et négociait plutôt un accord avec le milliardaire David Ellison...
Paramount Global a publié en attendant pour son premier trimestre fiscal, un bénéfice ajusté par action de 62 cents à rapprocher d'un consensus de 35 cents. Les revenus ont totalisé 7,69 milliards de dollars, contre 7,73 milliards de consensus FactSet. Paramount Global a aussi annoncé se séparer de son directeur général Bob Bakish, remplacé par un trio composé de Brian Robbins, CEO de Paramount Pictures, Chris McCarthy, DG de Showtime et MTV Entertainment Studios, et George Cheeks, CEO de CBS.

Airbnb (-6,3%). Le groupe a publié un bénéfice trimestriel en hausse, mais a prévu un chiffre d'affaires pour le deuxième trimestre inférieur aux attentes des analystes. Le chiffre d'affaires d'Airbnb au premier trimestre a grimpé de 18% à 2,14 Mds$, tandis que le groupe table sur un CA allant de 2,68 à 2,74 Mds$ pour le deuxième trimestre, inférieur au consensus qui était logé sur les 2,75 Mds$. En cause des taux directeurs tendus et des dates de vacances de Pâques plus précoces qu'habituellement en raison d'un week-end pascal tombé à cheval entre la fin mars et le début avril, ce qui pourrait peser sur les réservations du deuxième trimestre, a expliqué la société. "Nos perspectives reflètent évidemment les tendances que nous avons observées depuis le début du trimestre", a déclaré Ellie Mertz, la directrice financière du groupe.
La société basée à San Francisco a publié par ailleurs un bénéfice net de 264 M$, soit 41 cents par action, pour le trimestre achevé fin mars, au-dessus des attentes des analystes qui tablaient sur 24/25 cents par action seulement. La direction a souligné une augmentation des séjours plus courts et des réservations de maisons entières, ce qui a entraîné une croissance de ses marges.
Les nuitées réservées au premier trimestre ont augmenté de 9,5% en glissement annuel, grâce à une croissance de 21% et 19% des réservations dans les régions Asie-Pacifique et Amérique latine. Les réservations en Amérique du Nord ont en revanche légèrement décéléré au cours du trimestre.
L'entreprise de location de vacances a expliqué qu'elle s'attendait à une croissance régulière tout au long de l'année 2024, "stimulée par la demande de voyages centrée sur les événements internationaux", à commencer par l'Euro de football en Allemagne en juin/juillet, suivi des JO de Paris en juillet/août...

Robinhood est stable, tandis que le courtier en ligne connu pour ses transactions sans commission a dépassé les estimations du marché en termes de profits et de revenus au 1er trimestre, grâce à l'envolée des volumes d'échanges enregistrés en particulier sur les crypto-monnaies (+232% !) et à la hausse des taux...
Le revenu trimestriel du groupe a grimpé de 40% à 618 M$, comparé à un consensus de place qui était inférieur à 550 M$. Le bénéfice trimestriel ressort à 18 cents par action, contre seulement 6 cents par action prévus par les analystes. Robinhood a donc enregistré un bénéfice au premier trimestre, contre une perte l'année dernière : Le bénéfice s'est élevé ainsi au global à 157 M$ pour le trimestre écoulé qui s'est terminé le 31 mars, contre une perte de 511 M$ il y a un an...
Le titre avait déjà fait la 'Une' à Wall Street en mars dernier après avoir lancé une carte de crédit destinée aux consommateurs américains dans le but de devenir une société de services financiers au sens large... La carte Robinhood Gold est proposée exclusivement aux membres du programme "Gold" par abonnement de la société. Elle n'a aucun coût annuel et ne supporte pas de frais de transaction à l'étranger. La carte offre par ailleurs une remise en argent de 3% sur toutes les catégories d'achat. "Notre objectif est de pénétrer ce marché de manière importante", avait expliqué le DG de la société Vlad Tenev. "Nous ne voulons pas simplement déployer une carte de crédit que nos clients adopteront... Nous voulons déployer un produit qui peut diriger l'industrie et la faire avancer". Le titre a repris plus de 40% à Wall Street depuis le 1er janvier...

Warner Bros Discovery progresse de 0,9%, alors que le groupe a annoncé son intention de proposer ses services de streaming Disney+, Hulu et Max en bouquet à ses clients américains, à partir de cet été. À partir de cet été aux États-Unis, les services de streaming seront ainsi proposés ensemble, "offrant aux abonnés le meilleur rapport qualité-prix en matière de divertissement et une sélection sans précédent de contenus des marques de divertissement les plus grandes et les plus appréciées, notamment ABC, CNN, DC, Discovery, Disney, Food. Network, FX, HBO, HGTV, Hulu, Marvel, Pixar, Searchlight, Warner Bros. et bien d'autres" commentent le groupe américain.
Le nouveau forfait sera disponible à l'achat sur l'un des trois sites Web de la plate-forme de streaming, proposé à la fois sous forme de plan financé par la publicité et sans publicité...
"Dans la foulée du lancement très réussi de Hulu sur Disney+, ce nouveau forfait avec Max offrira aux abonnés encore plus de choix et de valeur", a déclaré Joe Earley, président, Direct to Consumer, Disney Entertainment. "Ce nouveau partenariat donne la priorité aux abonnés, en leur donnant accès à des films à succès, des originaux et à trois immenses bibliothèques présentant les meilleures marques et divertissements en streaming aujourd'hui."
"Cette nouvelle offre offre aux consommateurs la plus grande collection de divertissements au meilleur rapport qualité-prix en matière de streaming, et contribuera à générer des abonnés supplémentaires et une fidélisation beaucoup plus forte", a souligné de son côté JB Perrette, PDG et président de la division mondiale du streaming et des jeux chez Warner Bros. Discovery. "Offrir cette valeur de divertissement sans précédent aux fans dans tous les genres complémentaires qu'offrent ces trois services, présente une nouvelle feuille de route puissante pour l'avenir de l'industrie."
Des détails supplémentaires concernant l'offre groupée seront partagés dans les mois à venir...

News Corp (+2,3%), le groupe new-yorkais de médias a publié un bénéfice trimestriel ajusté de 11 cents par action pour le trimestre écoulé clos fin mars, en hausse par rapport à l'année précédente sur la même période (9 cents). La moyenne des anticipations tournait autour d'un bénéfice de 10 cents par action selon le consensus de place... Le chiffre d'affaires du groupe s'est légèrement tassé de 1% à 2,42 Milliards de dollars par rapport à l'année dernière. Les analystes s'attendaient globalement à un CA de 2,45 Mds$.
A Wall Street, l'objectif de cours moyen à 12 mois se situe à 30$ pour la maison-mère du Wall Street Journal, de l'agence Dow Jones, et de l'éditeur de livres HarperCollins...
Les revenus du troisième trimestre en baisse de 1% reflètent un impact négatif de 21 millions de dollars, ou 1%, et des fluctuations des devises étrangères. Les revenus ajustés sont restés stables par rapport à l'année précédente. Le bénéfice net du trimestre s'est élevé à 42 millions de dollars, contre un bénéfice net de 59 millions de dollars l'année précédente. L'EBITDA total du secteur au troisième trimestre s'est élevé à 322 millions de dollars, contre 320 millions de dollars l'année précédente.
Du côté de l'agence Dow Jones, les revenus des activités d'information professionnelle ont augmenté de 10% par rapport à l'année précédente, grâce au succès continu de Risk & Compliance et de Dow Jones Energy, qui ont chacun augmenté de 15%. Dow Jones a ainsi réalisé son plus grand nombre d'abonnements nets trimestriels séquentiels pour les abonnements numériques, soit 322.000, atteignant plus de 5 millions d'abonnements numériques Dow Jones pour le trimestre.
REA Group a publié de solides résultats avec des revenus trimestriels de 256 millions de dollars, soit une augmentation de 15% par rapport à l'année précédente, principalement grâce à la solide performance résidentielle en Australie.

Roblox, le concepteur américain de jeux vidéo, dégringole de 21% à Wall Street, à 31$, alors que le groupe prévoit des réservations pour l'exercice 2024 situées entre 4 et 4,10 Milliards de dollars, en baisse par rapport aux prévisions précédentes qui ressortaient entre 4,14 et 4,28 Mds$. La direction table par ailleurs sur un chiffre d'affaires pour le deuxième trimestre compris entre 855 et 880 ME, loin du consensus de place qui se situait à plus de 930 M$.
Au premier trimestre, le groupe a affiché un CA de 801 M$. Le groupe américain cible un chiffre d'affaires annuel compris entre 3,45 et 3,53 Mds$, nettement sous les prévisions du marché qui approchaient les 4,20 Mds$.
La direction insiste de son côté sur les liquidités nettes et équivalents de trésorerie générés par les activités d'exploitation, en hausse de 37% sur un an et flux de trésorerie disponible record en hausse de 133% sur un an. L'EBITDA ajusté s'est élevé à (6,9) millions de dollars, ce qui exclut les ajustements liés à l'augmentation des revenus différés et du coût des revenus différés de 127,6 millions de dollars et (32,9) millions de dollars, respectivement.
Les utilisateurs actifs quotidiens moyens s'élevaient à 77,7 millions, en hausse de 17 % d'une année sur l'autre...

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