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Wall Street incertain après le rebond. Disney sous pression

| Boursier | 163 | Aucun vote sur cette news

Wall Street hésite avant bourse ce mardi, suite au rebond des deux précédentes séances...

Wall Street incertain après le rebond. Disney sous pression
Credits Reuters

Wall Street hésite avant bourse ce mardi, suite au rebond des deux précédentes séances. Le S&P 500 et le Dow Jones affichent peu d'évolution, tandis que le Nasdaq cède 0,1%. La cote américaine avait auparavant rebondi sur des espoirs de baisse des taux cette année, alimentés par les moins bons chiffres de l'emploi publiés vendredi. Sur le Nymex, le baril de brut WTI abandonne 0,5% à 78,1$. L'once d'or cède 0,4% à 2.323$. L'indice dollar gagne 0,1% face à un panier de devises.

Les responsables de la Fed seront nombreux à s'exprimer cette semaine. Thomas Barkin et John Williams prenaient ainsi la parole hier lundi. Barkin a indiqué que les données récentes rendaient moins optimiste à propos du rythme du retour sous contrôle de l'inflation. Néanmoins, le président de la Fed de Richmond s'est dit confiant quant au fait que le niveau actuellement restrictif des taux puisse freiner suffisamment la demande pour ramener l'inflation vers l'objectif. Compte tenu de la vigueur de l'emploi, la Fed a selon lui le temps d'acquérir la confiance nécessaire pour être sûre que l'inflation va baisser. Williams a quant à lui précisé que le prochain mouvement de la Fed serait probablement d'abaisser les taux. Le patron de la Fed de New York voit la croissance de l'emploi se modérer et envisage donc toujours un assouplissement monétaire ultérieur. Le responsable a ajouté hier que le processus de réduction du bilan de la Fed s'était déroulé sans problème.

Neel Kashkari, président de la Fed de Minneapolis, intervient à son tour ce mardi. Philip Jefferson, Susan Collins et Lisa Cook seront de la partie demain. Michelle Bowman, Austan Goolsbee et Michael Barr, sont attendus vendredi.

Ce mardi, les investisseurs suivront seulement, sur le front économique, les chiffres du crédit à la consommation. Les stocks de grossistes et le rapport hebdomadaire du Département américain à l'Énergie concernant les stocks pétroliers domestiques, pour la semaine close le 3 mai, seront dévoilés demain.

Les inscriptions au chômage pour la semaine se terminant le 4 mai seront dévoilées jeudi. Enfin, l'indice préliminaire du sentiment des consommateurs américains pour le mois de mai mesuré par l'Université du Michigan, ainsi que la balance budgétaire américaine, seront annoncés vendredi.

Dans l'actualité des entreprises à Wall Street, Vertex Pharmaceuticals, Palantir Technologies, Microchip Technology, Williams Companies, Symbotic, Coty, Lucid Group ou International Flavors & Fragrances, publiaient hier soir leurs derniers comptes trimestriels.

Walt Disney, Arista Networks, Ferrari, Duke Energy, McKesson, TransDigm, Occidental Petroleum, Sempra, Datadog, Electronic Arts, Kenvue, Rockwell Automation, GlobalFoundries ou Waters, annoncent ce mardi.

Uber Technologies, Anheuser-Busch, Airbnb, Arm Holdings, Shopify, Emerson Electric, The Trade Desk, Li Auto, Fox Corp, News Corp et Robinhood Markets, annonceront mercredi.

Constellation Energy, Akamai, Hyatt Hotels, Warner Music Group, Warner Bros. Discovery, Roblox ou Mettler-Toledo, dévoileront jeudi leurs derniers chiffres.

Wall Street a rebondi depuis la fin de semaine dernière, suite aux derniers chiffres d'Apple et à un rapport très mitigé sur l'emploi américain pour le mois d'avril. Cette faiblesse du marché du travail, tant espérée par la Fed, semble donc enfin se matérialiser. Elle offrirait à la banque centrale américaine la possibilité d'abaisser ses taux un peu plus tôt qu'attendu. Pour l'heure, suite à un sixième statu quo consécutif de la Fed cette semaine maintenant le taux des fed funds entre 5,25% et 5,50%, au plus haut de 23 ans, les marchés n'entretiennent pas vraiment d'espoir d'un assouplissement à court terme. Néanmoins, la probabilité d'une baisse des taux pour le mois de juillet ou en septembre est remontée après les chiffres de l'emploi...

Les créations de postes non-agricoles aux Etats-Unis pour le mois d'avril 2024 sont ressorties au nombre de 175.000 seulement, contre un consensus de place de 235.000 mesuré par FactSet, un consensus Bloomberg de 243.000 et un niveau de 315.000 un mois auparavant. La précédente lecture du mois de mars se situait à 303.000. Le taux de chômage est ressorti pour sa part à 3,9%, contre 3,8% de consensus et 3,8% un mois plus tôt. Le salaire horaire moyen a augmenté de 0,2% en comparaison du mois antérieur, contre +0,3% de consensus et +0,3% un mois plus tôt - soit +3,9% sur un an contre +4% de consensus.

Selon l'outil FedWatch du CME Group, la probabilité d'un nouveau statu quo monétaire à l'issue de la prochaine réunion des 11 et 12 juin est désormais de plus de 91%. La probabilité d'un premier assouplissement monétaire le 31 juillet devient plus significative, avec plus de 31% de chances que les taux descendent d'un cran d'ici là. Enfin, la probabilité dominante pour le 18 septembre (près de 46%) est celle d'une fourchette de taux de 5-5,25%, soit une baisse d'un quart de point.

Les valeurs

Walt Disney, le géant américain du divertissement, a annoncé pour son deuxième trimestre fiscal clos fin mars des revenus totalisant 22,08 milliards de dollars, à comparer à un niveau de 21,81 milliards de dollars pour la période comparable de l'an dernier. Le bénéfice dilué par action, sur une base ajustée, est ressorti à 1,21$ contre 93 cents un an avant. Le consensus de place était de 1,1$ de bénéfice ajusté par action pour 22,1 milliards de dollars de chiffre d'affaires. Ainsi, alors que le résultat net trimestriel consolidé est légèrement dans le rouge du fait des restructurations et dépréciations, le bénéfice ajusté dépasse les attentes et l'activité streaming s'affiche enfin rentable. Les parcs affichent également une bonne tenue.

L'activité streaming devrait connaître un troisième trimestre fiscal un peu plus léger, avant un quatrième trimestre rentable et de nouvelles améliorations en termes de rentabilité sur l'exercice 2025. Le groupe souligne que sur le trimestre, il a réalisé une forte croissance à deux chiffres de son bénéfice ajusté par action et atteint ou dépassé ses estimations. Suite à cette surperformance, le nouvel objectif de croissance du bénéfice ajusté annuel par action se situe à 25%, contre 20% auparavant.

Le groupe se dit par ailleurs en bonne voie pour générer environ 14 milliards de dollars de cash des opérations et plus de 8 milliards de dollars de cash flow libre sur l'exercice. Disney a racheté pour 1 milliard de dollars de ses propres titres sur le trimestre et entend poursuivre les retours aux actionnaires.

L'activité Entertainment Direct-to-Consumer de streaming a donc été rentable au deuxième trimestre. "Même si nous nous attendons à ce que les résultats de l'activité Entertainment DTC soient plus doux au troisième trimestre et tirés par Disney+ Hotstar, nous continuons de nous attendre à ce que nos activités combinées de streaming soient rentables au quatrième trimestre et soient un moteur de croissance futur significatif pour l'entreprise, avec de nouvelles améliorations de la rentabilité au cours de l'exercice 2025", insiste Disney. Le nombre d'abonnés à Disney+ Core a augmenté de plus de 6 millions au deuxième trimestre, et le revenu moyen par utilisateur de Disney+ Core a augmenté séquentiellement de 44 cents. Disney+ compte 153,6 millions d'abonnés, un niveau légèrement moins élevé que prévu, tandis que le service Hulu affiche plus de 50 millions d'abonnés et dépasse les anticipations.

Walt Disney dépasse donc largement les attentes de profits pour le trimestre clos et livre des prévisions annuelles solides. Néanmoins, le titre chute de près de 6% avant bourse, sans doute essentiellement du fait de la guidance prudente du troisième trimestre fiscal et des revenus tout juste en ligne sur le trimestre clos.

Vertex Pharmaceuticals, le laboratoire de biotechnologies du Massachusetts, a annoncé hier soir pour son premier trimestre fiscal des revenus produits de 2,69 milliards de dollars (+13%). Le bénéfice net GAAP a progressé de 57% en glissement annuel et le bénéfice ajusté de 56%, avec la baisse des dépenses et la progression des revenus produits. Le groupe a confirmé sa guidance annuelle 2024, comprenant des revenus produits allant de 10,55 à 10,75 milliards de dollars. Le niveau de cash et équivalents en fin de trimestre se situait à 14,6 milliards de dollars, contre 13,7 milliards à fin décembre.

Palantir, le groupe software américain, dont les logiciels équipent notamment les services US de renseignement, retombait hier soir de plus de 8% après bourse à Wall Street. Le groupe a affiché des prévisions annuelles jugées un peu courtes, du moins au regard du rallye antérieur de l'action sur la cote américaine avec l'engouement autour des "dossiers IA". Pourtant, Palantir a relevé ses prévisions annuelles de revenus entre 2,68 et 2,69 milliards de dollars, en ligne avec les anticipations de marché. Le bénéfice opérationnel ajusté est anticipé entre 868 et 880 millions de dollars, quant à lui supérieur au consensus. Le groupe de Denver a affiché des ventes de 634 millions de dollars pour le trimestre clos fin mars, en croissance de 21% et au-dessus des attentes, alors que son bénéfice net s'est élevé à 106 millions de dollars, un record et une performance ici encore meilleure que prévu. Le groupe avait affiché l'an dernier son premier exercice bénéficiaire.

Lucid Motors, le constructeur américain de véhicules électriques, a affiché pour son premier trimestre des revenus de 173 millions de dollars (+16%) à comparer à un consensus de 150 millions de dollars, mais la perte d'Ebitda est ressortie à 598 millions de dollars, bien plus lourde que prévu. La perte par action, de 30 cents, est également plus importante qu'anticipé. Peter Rawlinson, directeur général du groupe, un ancien de Tesla, estime que Gravity est en bonne voie pour devenir "le meilleur SUV au monde" et juge que le levier des ventes se construit. Quoi qu'il en soit, et alors que le groupe semble confiant dans sa montée en puissance, les pertes demeurent lourdes, tandis que la position de cash et équivalents se situe à 4,62 milliards de dollars.

Microchip Technology, le concepteur américain de puces, a livré des prévisions décevantes pour son premier trimestre fiscal juste entamé, alors que ses clients continuent de gérer leurs stocks excédentaires. Microchip envisage des revenus allant de 1,22 à 1,26 milliard de dollars sur la période close fin juin, à comparer à un consensus de 1,34 milliard. Le groupe basé dans l'Arizona prévoit un bénéfice ajusté trimestriel par action allant de 29 à 32 cents, très inférieur aux anticipations des analystes. Pour son quatrième trimestre fiscal juste clos, Microchip a affiché des revenus de 1,33 milliard de dollars et un bénéfice ajusté par action de 57 cents, en ligne avec le consensus.

Symbotic, le groupe actif dans l'automatisation d'entrepôt robotique, qui se présente comme un leader des technologies robotiques basées sur l'IA, a présenté hier soir des résultats trimestriels en forte croissance. Pour son deuxième trimestre fiscal 2024 clos le 30 mars 2024, Symbotic a enregistré un chiffre d'affaires de 424 millions de dollars (+59%), une perte nette de 41 millions de dollars et un Ebitda ajusté de 22 millions de dollars. Sur la période comparable de l'exercice 2023, Symbotic avait enregistré un chiffre d'affaires de 267 millions de dollars, une perte nette de 55 millions de dollars et une perte d'Ebitda de 11 millions de dollars. La trésorerie, les équivalents de trésorerie et les titres négociables disponibles ont augmenté de 276 millions de dollars par rapport au trimestre précédent pour atteindre 951 millions de dollars à la fin du deuxième trimestre.

Williams Companies, le groupe énergétique américain, a affiché au premier trimestre fiscal un bénéfice net de 631 millions de dollars contre 926 millions de dollars un an avant. Le consensus est toutefois dépassé. Le bénéfice par action s'est établi lui aussi au-dessus des attentes à 52 cents. Le bénéfice ajusté a été de 719 millions de dollars contre 684 millions un an plus tôt. L'Ebitda ajusté a augmenté de 8% à 1,93 milliard de dollars. Les revenus ont été de 2,77 milliards de dollars, contre 2,69 milliards pour la période correspondante, un an avant. Le cash flow des opérations a été de 1,23 milliard de dollars contre 1,51 milliard pour la période comparable, un an avant.

Ferrari perd du terrain avant bourse à Wall Street, alors que le constructeur italien de voitures de luxe a pourtant maintenu ses prévisions 2024. Pour le premier trimestre, le groupe a affiché un bénéfice ajusté en progression de 13%. L'Ebitda ajusté a atteint 605 millions d'euros sur le trimestre, en ligne avec les attentes de marché. Les livraisons se sont en revanche tassées à 3.560 unités, avec une chute de 20% dans la région comprenant Chine, Hong Kong et Taïwan. Ferrari table toujours sur un Ebitda ajusté annuel en augmentation à au moins 2,45 milliards d'euros.

TransDigm, l'équipementier aéronautique américain, actif notamment dans les systèmes d'allumage pour moteurs, affiche peu d'évolution avant bourse à Wall Street. Pour son deuxième trimestre fiscal, le groupe a réalisé des revenus de 1,92 milliard de dollars en forte progression de 21%. Le bénéfice net s'est quant à lui envolé de 33% à 404 millions de dollars, pour un bénéfice par action de 6,97$. Le bénéfice ajusté par action a grimpé de 34% à 7,99$. Le groupe relève ses prévisions financières 2024 afin de refléter sa "forte performance constante". Les ventes sont attendues entre 7,68 et 7,8 milliards de dollars, tandis que le bénéfice net est anticipé entre 1,608 et 1,686 milliard de dollars. Le bénéfice ajusté par action est attendu entre 31,75 et 33,09$, soit une croissance de 25,5% en milieu de fourchette.

Apple gagne 1% avant bourse à Wall Street, tandis que Nvidia cède 1%. Selon le Wall Street Journal, le géant technologique de Cupertino développe des puces d'IA pour les centres de données et cherche à prendre l'avantage dans cette course aux équipements. Le groupe à la pomme s'appuie sur sa longue histoire de développement de puces dans le cadre de cet effort, nommé "Projet ACDC". Apple travaillerait donc sur sa propre puce conçue pour exécuter des logiciels d'intelligence artificielle dans les serveurs des centres de données, une décision qui pourrait potentiellement donner à l'entreprise un avantage dans la course aux "armements" en matière d'IA. Le Wall Street Journal rappelle que durant la dernière décennie, Apple a émergé en tant qu'acteur majeur dans la conception de puces pour iPhone, iPad, Apple Watch et Mac. Le projet surnommé en interne "ACDC", pour Apple Chips in Data Center, pourrait donc marquer une nouvelle étape clé dans ce domaine...

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